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150 jours pour construire un nouveau mouvement écologiste

14 octobre Convention de la refondation !

Vous avez été près de 30 000 à participer à la démarche des Etats généraux de l'écologie, et pour tout ce travail merci !


Nous vous donnons rendez vous pour la dernière étape du processus le 14 octobre à la Cité Fertile à Pantin pour le lancement officiel du nouveau mouvement des Ecologistes.


Participez au moment historique de refondation de l'écologie, pour une journée festive et chaleureuse, l'occasion pour nous de vous présenter l'ensemble de la démarche, les grands enseignements que nous tirons de vos avis, requêtes, remarques et de se projeter ensemble dans l'avenir.

Pour s'inscrire

Notre objectif ?

Un grand mouvement de l'écologie, qui rassemble au moins 1 million de personnes !

Comment ?

Avec vous, grâce à une démarche d'écoute, d'humilité, d'ouverture... et dans la convivialité !

Pour quoi faire ?

Pour gagner les batailles que nous avons à mener. Sauver le climat, préserver l'habitabilité de la planète, défendre la justice et rendre possible la prospérité.

notre démarche

ÉTATS GÉNÉRAUX DE L'ÉCOLOGIE : À QUI S'ADRESSE NOTRE DÉMARCHE ?

A vous toutes et tous en qui vit l’écologie, d’où que vous veniez.

Les parents et les grands-parents inquiets pour leurs enfants. Les promeneurs et promeneuses qui sont émus quand ils se baladent en forêt ou en montagne. Les amoureux et amoureuses de la faune qui rêvent devant les documentaires célébrant la vie sauvage.

Notre jeunesse, lucide, déterminée, qui se mobilise et ne comprend pas que nous ne paniquions pas.

Les personnes en situation de précarité qui réalisent que la solution durable à leurs problèmes nécessite un changement radical de modèle et un nouveau pacte social, juste et partagé.

Les esprits rationnels qui veulent tenir compte du message des scientifiques.

Les ouvriers et ouvrières inquiet·es de leurs conditions de travail, de la menace permanente de délocalisation, et aussi de leur santé et des risques industriels, tout comme les riverain·es qui vivent à proximité de leur usine.

Les artisans, fiers de leur savoir-faire et de leur connaissance des territoires, qui ne peuvent se résoudre aux effets destructeurs de la mondialisation débridée.

Les paysans et paysannes broyé·es par le modèle agricole industriel qui détruit nos sols.

Les entrepreneurs, les entrepreneuses, conscient·es des limites planétaires, et de la nécessité d’une nouvelle relation au travail, qui inventent de nouvelles façons de faire.

Les aidant·es, les soignant·es et les enseignant·es qui connaissent la valeur du soin, de la coopération et du partage, qui contribuent à la société de liens.

Les simples citoyens et citoyennes, conscient·es de l’importance du convivialisme et qui veulent refaire société.

Toutes celles et ceux qui s’organisent dans les camps climat, qui bâtissent des pratiques écoféministes, qui rêvent de construire, hors des villes, un ailleurs, plus riche de vie.

Les ultra-marins, qui se battent dans l’indifférence générale de beaucoup de monde en métropole, depuis 40 ans, pour faire reconnaître les ravages du chlordécone et des sargasses aux Antilles, contre l’exploitation du nickel en Nouvelle-Calédonie, contre les conséquences des essais nucléaires en Polynésie, contre les mines d’or et de l’orpaillage clandestin en Guyane, pour le tram-train à la Réunion et pour l’accès aux soins à Mayotte.